A propos

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Michèle Duclos a consacré son enseignement et sa recherche à l’université Michel Montaigne de Bordeaux à la poésie britannique et irlandaise contemporaine. Sa recherche a porté essentiellement sur le poète Kenneth White à qui elle a consacré sa thèse et de nombreux articles. En 2006 les éditions universitaires ELLUG ont publié son essai Kenneth White, nomade intellectuel, poète du monde. Elle a dirigé pour les Presses universitaires de Bordeaux le volume Le Monde ouvert de Kenneth White et une Anthologie de la Poésie Britannique des années trente. En 2016 aux éditions de l’Harmattan son essai Un regard anglais sur le symbolisme français portait sur le poète Arthur Symons, incluant une traduction de son Mouvement Symboliste en Littérature (1899). Elle a participé collectivement à l’Anthologie de Poésie Irlandaise du 20ème siècle (ed. Verdier, 1996), à celle des Poètes d’Irlande du Nord (PU Caen, 1995) et à John Montague, Amours, marées (ed. William Blake& CO, 1988). Les éditions Caractères ont publié ses traductions de Charles Tomlinson et d’Eamon Grennan. Elle a traduit les poèmes de Shizue Ogawa (avec Jacqueline Starer) pour les éditions A Bouche Perdue puis Caractères ; pour les éditions Fédérop les poètes Ruth Fainlight et Thomas Kinsella et pour Le Poémier de Plein vent de Bergerac, la canadienne Patricia Keeney; pour Alidades, John Montague, Harry Clifton et Ruth Fainlight; pour les éditions Black Herald, de David Gascoyne : Night Thoughts/ Pensées Nocturnes et de Kathleen Raine, David Gascoyne et la fonction prophétique ; et pour les éditions Bilatéral (Athènes) quatre pièces de la dramaturge anglophone Lia Karavia  Elle collabore régulièrement, par des articles et des traductions, aux revues Le Journal des Poètes et Poésie/Première, à la revue en ligne temporel.fr, et irrégulièrement à Po&sie, à Europe et à la Revue Européenne de Recherche sur la Poésie. Elle a reçu plusieurs prix pour ses travaux.

3 réactions sur “A propos

  1. Madame,

    Poète écossais résidant en France depuis vingt-six ans et devenu français d’adoption, je connais certains de vos travaux universitaires sur mon compatriote Kenneth White pour les avoir lu au fil des années. White a eu une influence décisive sur moi dans mes années formatrices à la fois par l’élargissement du contexte intellectuel qu’il m’a apporté mais aussi sur un plan personnel car il m’a encouragé à écrire à une époque où je tâtonnais encore et étais grandement habité par le doute. Depuis cette époque, j’ai suivi mon propre chemin et me suis détourné quelque peu de son oeuvre.

    Je me permets de vous écrire aujourd’hui car je souhaiterais vous envoyer un exemplaire de mon travail qui a la particularité d’être en bilingue puisque j’écris en français et en anglais et traduis mes textes d’une langue à l’autre. Serait-il possible de me communiquer une adresse postale où je pourrais vous envoyer un de mes livres, si vous n’y voyez pas d’inconvénient bien entendu? Je vous remercie par avance d’avoir eu la gentillesse de lire mon message.

    Bien cordialement,
    Paul Roddie

  2. Bonjour.
    Très bien. Je prépare l’envoi donc.
    Avec mes remerciements.
    Bien cordialement,
    P. Roddie

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